Le couple heureux qui se reconnaît dans l'amour défie l'univers et le temps; il se suffit, il réalise l'absolu...
Simone de Beauvoir

vendredi 30 avril 2010

Entre fou-rire et coup de gueule



Tout commence au début de la semaine, avec un article trouvé sur la page Facebook de mon amie Isabelle, la talentueuse artiste peintre. Isa peint avec passion une nature à laquelle elle déclare son amour. D'un coup de pinceau, elle exprime l'essence même d'un corps, d'un arbre, une touche, un mouvement... La vie.
Elle termine courageusement son doctorat en éducation artistique à l'université Concordia de Montréal et voici ce qu'elle vient de découvrir au musée national des Beaux Arts de Québec:

Essayez de zoomer sur l'image pour voir le délire verbal qui accompagne le dessin! Et voici le commentaire coup de gueule de ma copine:

"Le numéro 218, printemps 2010, de La Vie des Arts publie ce mois-ci un article édifiant de Jean-Émile Verdier sur Stéphane La Rue, intitulé "La Responsabilité de peindre".
Je cite : "Les oeuvres de Stéphane La Rue sont d'apparence sobre. Le nombre de décisions prises pour les réaliser est réduit au minimum. On devine cependant que pour arriver à un tel dépouillement, il a fallu un long travail préparatoire certes avec de nombreux essais et beaucoup de ratages. Ce n'est pas sur la difficulté d'exécution que l'artiste capitalise. De fait, la pratique artistique n'en est plus là, son appréciation du moins ! L'a-t-elle déjà été d'ailleurs ?"
Dans le texte original, cette phrase souligne une toile blanche, façon Malévitch. Pas très original : depuis 100 ans on ne compte plus les peintres qui, génération après génération, s'évertuent à peindre des toiles blanches ...
En page suivante, l'oeuvre que je présente ci-dessus en illustration, avec un discours du même acabit. Il s'agit ni plus ni moins d'une feuille de papier millimétré avec une croix au feutre noir fin tracée dessus et, encore plus fort, une deuxième croix, grise.

Mais que suis-je donc allée faire dans cette galère ? À perdre mon temps avec des gens qui s'extasient devant ce qui à mon avis n'est past de l'art, mais juste de la communication médiatique ? Des choses qui, de surcroît, se retrouvent exposées au Musée National des Beaux-Arts de Québec, c'est-à-dire que nous payons avec nos impôts !"

Pour essayer de lui remonter le moral, je lui ai rappelé le temps pas si lointain (1 mois? 2 mois?) où je lui exprimais mon admiration, moi l'handicapée du fusain qui n'a jamais été capable de tracer une perspective. Et je lui ai dit que, ma foi, au vu de cette magnifique œuvre de Stéphane Larue, je me sentais somme toute assez capable de laisser libre cours à mon imagination et à mon talent caché. Et j'ai pondu, moi aussi!......... Ceci (intitulé Trinité):



Effectivement! Je confirme! Il m'a fallu un long travail préparatoire disons.... d'un gros 5 minutes! Une chose est certaine, c'est que, comme vous n'appartenez pas au cercle des "INITIÉS" , petits cafards terrestres que vous êtes, afin que vous puissiez comprendre le sens de ma démarche, vous trouverez ci-dessous, à l'instar de mon éminent collègue Stéphane Larue un petit texte explicatif pour bien saisir toute la sensibilité de mon engagement:
"Dans l’envol artistique qu'on recherche , nous nous escrimons à laisser de côté comme inexprimable ce qui est précisément cette expression même de la douleur et à nous attacher à en éprouver le plaisir sans la connaître jusqu'au fond. Nous parlons d’un concept menaçant qui reste suspendu dans l’espace et qui est en fait la racine personnelle de notre propre impression de l’attachement terrestre. Dans les moments mêmes où nous sommes les spectateurs les plus désintéressés de la nature, de la société, de l'amour, de l'art lui-même, comme toute impression est double, à demi engainée dans l'objet, prolongée par une autre moitié que seuls nous pourrions connaître, nous nous empressons de la renier et nous ne tenons compte que de l'autre moitié ne pouvant pas être approfondie parce qu'elle est extérieure. L’exaltation de la trinité de l’objet nous entraine en réalité vers un repli sanglant et tourmenté qui nous égare dans les méandres de son aberration universelle. Ainsi, l’esprit le plus pragmatique ne pourra renier l’ambivalence instinctive du supérieur vers son néant, tout au plus alimenter de son dédain la réfraction de la forme éternelle."

Alors ? Dans le genre foutage de gueule artistique, vous votez pour qui? Stéphane Larue ou moi?

Bisou les gens !!!

mardi 27 avril 2010

En avril, ne te découvre pas d'un fil

Monsieur Cherrybee me l'avait déjà racontée celle-là, mais je ne l'avais jamais vécue!
Ben voilà, je ne dirai plus .... jamais. Le pourquoi, il est sur toutes les lèvres depuis ce matin.On nous l'avait bien annoncé hier! Sublime ciel bleu, 18°, soleil ardent, des tulipes et des pensées à ras bord des étals des jardineries, lunettes de soleil, petits escarpins. Et voilà qu'en début d'après midi on nous annonce la neige pour demain, températures au ras du néant. Vous y auriez cru, vous?Ben nous non plus. À 18 h, il faisait encore 18°. Et ce matin? Voilà ce qui nous attendait par la fenêtre
de devant



de derrière


À Montréal



Chez les voisins


À la télé




Et le pompon? Voici la météo de vendredi! DANS 2 JOURS !!!! :




Vous comprendrez que, même si les collègues n'étaient pas trop ravies de patauger dans la slush, ça ne les a pas perturbé outre mesure. Vendredi, il fait soleil, il fait 18°, sublime ciel bleu, soleil ardent, lunettes fumées et petits escarpins!



Bisou les gens !!!

dimanche 25 avril 2010

Promenade à Montréal et suspension de l'aménagement de la maison

Coucou! vous allez bien ?
Ce week-end (pardon, cette fin de semaine) on a décidé de "monter" à Montréal pour prendre le pouls de cette ville qu'on adore et acheter notre huile préférée chez notre épicier marocain prées du marché Jean Talon. 15 $ les 2 litres, parfumée, belle couleur ambrée, très bon goût, elle a toutes les qualités. En chemin, on a assisté au grand ménage de printemps:


avec les grands moyens

On a encore été subjugués par les gratte-ciel du centre ville pris à travers le toit ouvrant de l'auto.


On est passés par la petite Italie. Quelle ambiance, ce quartier! Des bistrots, des tables sur le trottoir, des passants qui s'interpellent, des Vespas qui nous doublent. On y reviendra, juste pour flâner.
On a aussi croisé une boutique Gallimard! En plein coeur du Québec!!




Et puis, on a enfin trouvé le bôôôô tapis!




La miss Daïka a l'air d'apprécier aussi.


On arrête là l'aménagement intérieur. L'été va arriver, on va se concentrer sur le jardin maintenant. D'ailleurs, on est aussi allés visiter le marchand de gazibos. On est tombés en arrêt devant celui-ci, tout en cèdre rouge de l'Ouest.


En plus de la solidité du matériau (50 ans tranquilles, qu'y disait le marchand), un parfum incomparable.

Eh! En passant, vous avez vu le ciel :-) ??


Bisou les gens !!!

vendredi 16 avril 2010

TGIF - Je trippe !!!!


Je trippe !!!!! Et j'assume !!!

Le succès de l'été prochain pour chasser les nuages de pluie !!!


">


Bisou les gens !!!

jeudi 15 avril 2010

Les employés canadiens parmi les plus satisfaits au monde

À l'heure de la reprise économique, 35 % des employés canadiens se disent «très satisfaits» de leur employeur actuel, selon la plus récente enquête trimestrielle sur le travail réalisée par Randstad.

Parmi les 23 pays sondés, seuls le Danemark et la Norvège ont obtenu un taux de satisfaction plus élevé avec 36 %.

À titre comparatif, 6 % des employés chinois et 7 % des employés japonais ont indiqué être «très satisfaits» de leur employeur. Le Royaume-Uni obtient quant à lui un taux de 20 % alors que l'Australie affiche 24 % et les États-Unis, 31 %.

L'enquête révèle par ailleurs que 78 % des travailleurs canadiens affirment ne pas être à la recherche d'un nouvel emploi.

Au Canada, ce sont les employés âgés de 18 à 24 ans qui affichent le plus haut taux de satisfaction alors que 47 % des employés sondés affirment être «très satisfaits» de leur employeur. A l'inverse, on retrouve le taux de satisfaction le plus bas chez les travailleurs âgés de 25 à 34 ans avec 23 %.

Si les résultats de cette enquête sont très encourageants pour les entreprises canadiennes, a ajouté Randstad par voie de communiqué, il importe néanmoins de prendre note que les employés reprennent confiance dans le marché du travail. En effet, 67 % des employés canadiens sondés disent être confiants que dans le contexte économique actuel, ils seraient en mesure de décrocher un nouvel emploi comparable.

Par ailleurs, la firme de relations publiques Environics Communications, de Toronto, serait le meilleur employeur du Canada, selon un palmarès rendu public mardi par l'Institut Great Place to Work. Les employés d'Environics qui ont répondu à un questionnaire ont été presque unanimes à souligner l'ambiance de travail, l'attention portée à la formation et au développement, et la qualité des gestionnaires, pour ne nommer que ces critères.

L'entreprise québécoise la mieux classée est la firme de biotechnologie Quintiles Canada, qui arrive en 65e place.


Sinon, moi, ça va.... Et vous?


Bisou les gens !!!

dimanche 11 avril 2010

Ben Mince! Et le salon?

C'est vrai, avec tous ces jours de congés de la semaine dernière, ce pic de chaleur que nous avons connu et dont nous avons profité à donf, je ne vous ai pas montré le nouveau salon qui est arrivé vendredi, veille de Pâques.

Vous vous souvenez donc, le salon jusqu'à la semaine dernière...


Et voilà le salon aujourd'hui: Ta daaaaammmm:



Ce que vous ne pouvez pas voir, c'est que la table est recouverte d'une matière texturée qui rappelle exactement celle du revêtement de la cheminée



Bon pas fini encore, il manque le tapis, les rideaux... Mais bon, on se sent bien, on a tout le temps maintenant...

Je pense qu'on va attendre le retour d'impôt pour attaquer les rideaux. On a trouvé une idée fabuleuse pour le salon cinéma.

Il y aura du rouge, du noir, des perles .... Que du très théâtral! Mais je ne vous en dis pas plus.
La surprise bientôt


Bisou les gens !!!

vendredi 2 avril 2010

Je vous le dirais, vous ne me croiriez pas!

(D'ailleurs, c'est pour ça que je n'ai rien posté hier ). Alors voici les preuves en images:


Effectivement, cet aprem, on plafonne à 23°. Ça tombe bien, on est en congé, ici le vendredi saint est un jour férié. En plus, le salon Natuzzi et monsieur Martel arrivent entre 4 et 6 heures.

Demain, encore plus chaud. Si ! Si!


La cabane à sucre de samedi, c'était mort puisque je ne savais pas que pour les meilleures, il fallait réserver jusqu'à deux mois à l'avance. Donc, ma Duchesse des neiges a réservé pour demain. On part manger à La Branche. Mais au fait, la tire sur la neige à 25°, ça le fait?


Bisou les gens !!!